RESILIENCE – MEDIATION DE PROJETS

 

RESILIENCE – Définition retenue par ASD-B

« La capacité des ménages, familles, communauté et des systèmes vulnérables à faire face à l’incertitude et au risque de choc, à résister au choc, à répondre efficacement, à récupérer et à s’adapter de manière durable »

La résilenceAGIR _ la ré́silience dans le contexte sahélien et ouest-africain

Vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessus pour accéder à une vidéo permettant d’approfondir cette notion de résilience suivant différents acteurs

Cette vidéo provient d’une note intégrée dans le site INTER-RESEAUX DEVELOPPEMENT RURAL :

Points de vue – AGIR : Qu’est-ce que la résilience ?

 

Le site Inter-Réseaux est intéressant pour obtenir des informations relatives à des débats, échanges, réflexions en réseaux sur le Développement rural au Sud.

ASD-B s’intéresse plus particulièrement aux chaînes des valeurs liées à l’éducation et à l’agroécologie, permettant aux générations présentes et à venir, de développer en autonomie leur capacité à faire émerger des solutions adaptées, pour résister aux chocs de tout ordre, et de manière durable.

ACTIONS MENEES PAR ASD-B POUR LA RESILIENCE

La principale action est la définition et l’expérimentation d’un projet global avec les parties prenantes de la région administrative du Sahel : « Appui au développement local au service de l’éducation ».

Ce projet met en œuvre des principes de résilience et ASD-B tâche d’être facilitateur / médiateur au service de l’autonomie et la responsabilité individuelle et collective des populations de la région du Sahel.

Pour plus d’informations : voir la rubrique « Nos projets ».

MEDIATION DE PROJETS

ASD-B s’intéresse au processus de médiation de projets utilisant des outils de facilitation / intelligence coopérative et prenant en considération les valeurs, intérêts et besoins de chaque partie prenante.

La médiation peut être définie de manière générale comme un processus structuré de communication, reposant sur la responsabilité et l’autonomie des participants, et facilité par un tiers impartial, indépendant, dénué de pouvoir de décision, le médiateur, et qui a pour finalité de permettre aux personnes concernées de réaliser un projet, d’établir ou rétablir des relations, ou de prévenir ou résoudre un différend.

ASD-B et ses membres souhaitent adopter des postures de médiateurs, et développer des compétences communautaires sur les sujets de communication positive, de l’empathie et de créativité qui favorisent les dialogues coopératifs et constructifs entre individus et collectivités.

La médiation repose sur des principes de déontologie et de postures :

  • liberté des participants,
  • respect, bienveillance et tolérance,
  • temps partagés avec qualité d’écoute, loyauté et équité,
  • clarification des éléments fondateurs d’un projet avec objectivité et discernement,
  • identification et valorisation des rôles, responsabilités et pouvoirs,
  • prise en considération de la richesse des différences et des différends (culturels, sociaux, humains, économiques, techniques…),
  • positivité, regards sur les problèmes et les différends comme source d’innovations, de changements et de progrès,
  • autonomie, responsabilité et intégrité des parties prenantes,
  • maïeutique socratique : le médiateur est là pour libérer la parole, interroger et faire accoucher des solutions, des modes de gouvernance, des idées nouvelles par les parties prenantes… Ainsi, le médiateur adopte une posture neutre, impartiale et indépendante et met en place des règles de confidentialité.

Dans le cadre de montage de projets, ASD-B utilise ces principes de médiation pour construire et sécuriser la coopération, avec une vision globale et commune entre les personnes et entités impliquées.

 

Note mise en ligne le 19/08/2015 mise à jour le 10/08/16

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